Une journée commencée vraiment "à la fraiche", départ à 6h30 de l’hôtel... et le soleil est déjà là mais la température est agréable.
On roule vers le carrefour de la frontière avec le Kazakhstan puis on prend la direction de Djizak.
Cette fois les ennuis sont de mon côté avec une sacoche qui saute facilement de son support. Après un réglage tout rentrera dans l’ordre. Puis ce sera le garde boue avant qui frottera contre ma roue, là aussi avec quelques coups de clé c’est vite réglé.
Ces arrêts ont néanmoins pris quelques temps et la température s’est élevée.
La route n’est pas très intéressante sauf les très nombreuses cigognes juchées sur les poteaux électriques et une vue des canaux d’irrigation qui longent la route.
Quelques pauses permettent de tenir jusqu’à l’arrivée à Djizak, où nous prenons de petites routes. Il semble d’ailleurs que les cartes n’aient pas été mises à jour après la construction de certains immeubles et l’itinéraire est incertain au début.
Mais dans l’ensemble on roule sur des routes agréables. A quelques kilomètres de Djizak un homme à côté de sa voiture nous fait signe de nous arrêter et après quelques mots nous invite au restaurant. Nous ferons le meilleur repas de notre séjour jusqu’à maintenant, avec la découverte du plat national Ouzbek, le plov.
Djizak est une ville qui a l’air riche, beaucoup plus occidentalisée que les endroits où nous sommes passés jusque là. Avec de grandes artères bordées d’immeubles modernes.